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LA PRESSE
ON PARLE DE NOUS !
 
 
2014
   
   
2014
17
juill.
 
Les clés du succès, pour l’adaptation dépaysante de Jean-Christophe Blondel, c’est une mise en scène rythmée et une scénographie sans fausse note dans le lieu magique de la colline des Mourgues. Les comédiens parviennent à donner un souffle nouveau à ce texte déjà de nombreuses fois représenté. Ils y insufflent un vent de modernité avec beaucoup de grâce et surtout, de sensualité.
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., RUE DU THÉÂTRE
2014
17
juill.
 
C’est prenant de bout en bout, d’une vie ardente, frénétique, néanmoins constamment maîtrisée. On ne perd rien des attendus cyniques et lyriques de l’œuvre, dont les prolongements physiques s’étirent volontiers, du crépuscule à la nuit, dans l’austère paysage provençal. C’est magnifique (le mot est pesé) par les vertus conjuguées du jeu, fougueux, juste, sans merci, même dans les figures d’excès, et de l’intelligence du texte mise en corps.
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Jean-Pierre Léonardini, L'HUMANITÉ
2014
12
juill.
 
Impossible de ne pas vibrer devant une telle puissance ! Pas seulement celle des mots de l'auteur, Paul Claudel, portés magistralement par le quatuor d'artistes de la Compagnie Divine Comédie. La mise en scène très graphique de Jean Christophe Blondel, conçue sur mesure, donne une dimension particulière au temps et à l'espace. Un espace exploité à merveille où chaque spectateur peut cheminer le temps de la pièce et au-delà encore avec ces questionnements intemporels et intimes autour du devenir de chacun, de la liberté, des rêves, des idéaux et valeurs qui guident nos existences.
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Christine Reynier, LE VAUCLUSE
2014
12
juill.
 
Peut-on aimer sans perdre son âme ? Peut-on aimer et être libre ? Louis-Laine, jeune Indien trop tôt marié, vagabond aux semelles de vent magnifiquement interprété par Yannik Landrein - tout comme les trois autres personnages consumés par la vie, rongés par leurs contradictions - , incarne ces questions, dans une amérique du début du XXe siècle, où l'argent roi, invisible mais arrogant personnage, grignote les rêves de jeunesse.
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.., MIDI LIBRE
2014
10
juill.
 
Violence, passion, tendresse, humour, désespoir, trahison, liberté, amour... tous les paradoxes de la vie sont là et on oublie les préjugés sur Claude. Ses mots deviennent concrets et fon écho dans le vécu de chacun d'entre nous. L'Echange, monument de la littérature françsie, magnifiquement adapté par Jean-Christophe Blondel, mérite de gravir la colline pour partager ce souffle de vie.
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Marcelle Dissac, LE VAUCLUSE
2014
10
juill.
 
Dans le silence de la nuit qui tombe, ils rendent toute sa puissance à la langue, retrouvant toute la sauvagerie brute de ce texte de jeunesse de Claudel.
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Didier Méreuze, LA CROIX
2014
09
juill.
 
BEST OF DU OFF du 9 Juillet
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.., FRANCE BLEU
2014
08
juill.
 
Faisant osciller la parole "entre un naturalisme rapide, brillant comme la jeunesse - les vers de Claudel mimant notre machine à penser bien mieux que toute prose - et un lyrisme absolu - parce que Louis(Laine le vagabon, l'inadapté, c'est Rimbaud, dans son élan et dans sa chute", la compagnie Divine Comédie renverse les "apriori sur le jeu claudélien" et le traitement de sa langue.
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C. Robert, AVIGNON OFF
2014
08
juill.
 
Les personnages sont crédibles dès leur entrée en scène. Le rythme est aussi naturel que le décor. Les expressions et gestes sont millimétrés, juste et parfaitement significatifs, jusqu'à ce léger mouvement de main de Marthe tendue vers son interlocuteur qui est à quinze mètres. Il en va de même des moments de nudité de Louis-Laine, on a juste l'impression d'être un rat des champs surprenant une scène quotidienne sur le chemin du retour au terrier.
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P. François, FRANCE CATHOLIQUE